Avant l’Everest

Avant l’Everest, DV, 05:42, 2002

Des pieds glissent sur une surface lisse, le son strident et grinçant définit le lieu de l’action, une baignoire. C’est un plan séquence : sans montage. Il se termine quand le corps s’épuise. On est dans la ténacité, l’obstination. La répétition rappelle le comportement d’un animal pris dans un piège.